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المؤثر أمير ديزاد رجل سنة 2021 بامتياز و تبون مهزلة السنة بكل ما تحمله الكلمة من معنى

صوت أزيد من 9098 شخص على استطلاع الرأي الذي أطلقته صحيفة الجزائر تايمز حول من يحضي بشعبية في وسط شباب الحراك الشعبي الجزائري لسنة 2021  و كان التصويت في صالح  المؤثر أمير بوخرص المعروف بأمير ديزاد  بمعدل  % 48.64  وحصل على  6591  صوت من  9098  مُصَوِّت فيما حصل عبد المجيد تبون على 1120 صوت وجاء في المرتبة الثانية وحصل بوال الأركان سعيد شنقريحة المرتبة الثالتة بـ 745 صوت

 

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تعليقات الزوار

هنيئا للسيد أمير و ان شاء الله هو من يكون الرئيس الجزائري بعد القضاء على السرطان الذي يحكم البلاد .

تحية أمير والنصر قريب والتقرير الأممي عن الحراك خير دليل على النصر إلى الأمام الصمود الصمود

تحية أمير والنصر قريب والتقرير الأممي عن الحراك خير دليل على النصر إلى الأمام الصمود الصمود

براهيم

جدك.. وزير خارجية دزاير

والله يا جدك نتا تكون وزير الاتصال للجزائر. والله يا جدك حتى قهرت العجزة الجنرالات بالتقادم بدون اي تكوين اكاديمي عسكري.. اصحاب الكاس والوسكي الارلندي..... نحبك في الله يا امير يا عميد قال عبلة وما داخلها.. جدك جدك جدك اصبحتم وحشيتها لهم

ولد السالك

تحية لأمير

يعجبني كثيرا حينما يقول  ( ابراهيم البعطوش  ) زعيم مافيا البوليساريو التي استنزفت مال الشعب الجزائري.

لمادا نظام الجزائر يحمل مسؤوليات اخفاقه في كل المجالات للمغرب؟

الْكَأْسُ الْمُدَنَّسَة

رَكَّزَ الْمُحَلِّلُون لِأَنْثْرُوبُولُوجِيا الصُّورة على كأس العرب المُدَنَّسَة  (* ) و على الضحكتين البَلْهَاوَيْن حتى أَفْلَتَتْ مِنْهم الحالة المزرية لِبَوَّال الكابرنات التي يبدو أن الجزائريين تعودوا عليها. فإذا كَبَّرْتُم الصورة فَسَتُلاحظون أن رئيس الكابرانات قد بدأ يتبول في سرواله و لم تنفعه الحفاظات لِهَوْلِ الصدمة التي تَلَقَّاها عندما لاحظ خريطةَ الممكلة المغربية الشريفة كاملةً جَاءَتْهُ من حيث لا يدري  ! .....................................................................................................................................الضحكةُ البلهاء لم تكن، في الحقيقة، ضحكةً، بل محاولةً فاشلةً منه لإيقاف التبول و ذلك بالشد على أسنانه و ضمه للكأس لصدره عِوَضَ رَفْعِها. لو رفعها لَانْهَار شَلَّالُ البول من تحته. ..................................................................................................................................... و سترون كذلك آثار بول قديم على جانبي سرواله. يا لِلْعار  ! ................................................................................................................................  (* ) : من مَسَّها بعده وَجَبَ عليه أن لا يقرب الصلاة قبل إعادة الوضوء.

Par Mohamed Arroudj Hirak en Algérie : Les raisons de l’impasse Le mouvement populaire né le 22 février 2019, essentiellement pour rejeter le cinquième mandat de Bouteflika, est passé par différentes phases allant de la spontanéité du début jusqu'à son épuisement au cours de l'été dernier. En réalité, les manifestations du Hirak se sont estompées dès le printemps dernier  (2021 ). Elles se sont poursuivies, durant quelques semaines, dans les principales villes de Kabylie. Aujourd'hui, plus de six mois après l'arrêt des démonstrations de force hebdomadaires, il semble judicieux de faire le bilan des deux ans et demi de contestation populaire et de manifestations massives pendant lesquelles des millions d'Algériennes et d’Algériens ont manifesté le désir de réaliser la rupture radicale avec le régime en place depuis 1962 ainsi qu'avec ses pratiques qui ont conduit à l'impasse dans laquelle se trouve actuellement le pays. Le soulèvement populaire du 22 février tenait à mettre en échec l'humiliation que représentait la candidature de Bouteflika pour un cinquième mandat. La rue s'est vite radicalisée pour imposer d’autres revendications politiques, notamment un véri table processus démocratique, la justice sociale et l’arrêt de la corruption. Les mobilisations de la période allant du mois de février au mois d’avril 2019 ont surpris par leur ampleur. Plusieurs sources crédibles les évaluent à plus de 20 millions de manifestants par semaine. Le caractère pacifique de ces manifestations a poussé le pouvoir dans ses retranchements. Habitué à la gestion des émeutes par la violence dont il maîtrise les tenants et les aboutissants, il s'est retrouvé démuni face à cette contestation. Devant ce mouvement inédit et massif, le pouvoir n’avait nul autre choix que de se débarrasser de sa devanture civile pour mieux sauver le régime et ses intérêts colossaux. Le 18 Avril, après un mouvement de grève qui a mobilisé de nombreux secteurs économiques du pays, Bouteflika annonce sa démission. Gaid Salah, le chef de l’état-major de l'armée est devenu le nouvel homme fort du régime. Forte de sa première victoire, la rue a rejeté les solutions de replâtrage proposées par le pouvoir qui visait en réalité l’essoufflement du mouvement. Face aux tergiversations du régime, le Hirak brandit son nouveau slogan «yetnehaw ga3» qui réaffirme la rupture radicale avec le pouvoir en place. Les manifestations se poursuivent malgré toutes les manœuvres et contraignent les décideurs à changer de tactique. Des attaques subtiles sont dirigées contre le Hirak pour mieux le diviser et l’affaiblir. Il est donc clair que le pouvoir avait, dès le début de la contestation, une stratégie pour venir à bout du mouvement populaire. Le Hirak, quant à lui, a continué à se contenter des marches hebdomadaires, mais sans vision bien définie. C’est dans la stratégie de l’un et dans la non-stratégie de l’autre que résident les raisons de l’impasse dans laquelle se trouve le mouvement populaire aujourd’hui. Les raisons de l’échec La crise actuelle révèle les ca uses de cette impasse. D’un côté, on a l’attitude du pouvoir qui s’est avérée payante et de l’autre, les multiples erreurs commises par le mouvement populaire et ses animateurs. Nous essayerons d’apporter un éclairage à ce sujet en revenant sur les deux ans et demi de contestation. L’absence de stratégie Face à un pouvoir rompu à la gestion des mouvements sociaux et populaires en mobilisant, à chaque fois, toute une panoplie de mesures, allant de simples louvoiements à la répression sanglante dans le but de se maintenir, voire même de renforcer ses assises, le Hirak s’est montré quelque peu naïf. De prime abord, on est porté à croire que la rue, ou du moins ses influenceurs ont sous-estimé la capacité de résistance du régime ou surestimé leur capacité à en venir à bout. En effet, en se contentant de manifestations hebdomadaires aussi massives soient-elles et de slogans souvent flous, voire creux, le mouvement populaire est parti d’un mauvais constat. Le caractère massif et pacifique du mouvement rendait de fait la répression caduque. Un temps envisagée, cette option s’est avérée à risques pour le pouvoir, car les conséquences ne pouvaient être que catastrophiques et contre-productives. En effet, opter pour la répression comme cela a été le cas en 2001 aurait provoqué un chaos que nul ne pouvait juguler surtout en l’absence d’organisations sociales et politiques crédibles. Le règne de Bouteflika a fait d’elles des structures amorphes et complètement laminées. Partons de là, le pouvoir débarrassé de sa vitrine civile pour mieux perpétuer le système, a misé sur le facteur temps pour permettre à ses officines d’échafauder des scénarii pour infiltrer le Hirak, le contenir et l’affaiblir. Dès l’été 2019, il a jeté toutes ses forces dans la bataille pour asséner ses premiers coups au mouvement. Comme à l’accoutumée, il brandit la carte payante de la division et du régionalisme en ciblant la Kabylie qui était alors, selon de nombreux observateurs, le cœur battant du mouvement. Cela s’est illustré parce que l’on peut appeler l’épisode du drapeau amazigh. Bien que ce subterfuge n’ait pas eu l’effet escompté, il a pu générer de la confusion et un début de démobilisation au sein du Hirak. La vigilance de la rue qui a manifesté un désir d’unité et le refus d’isoler la Kabylie ont limité grandement les dégâts. Malgré cette première déconvenue, le pouvoir a récidivé en mobilisant des parlementaires, des politiques du sérail et quelques olibrius pour multiplier encore une fois les attaques et les invectives ordurières et dangere uses contre cette région fronde use. Il eut même une rencontre à l’ouest du pays sous le slogan « opération zéro Kabyle ». Cette ré union qui s’est tenue sous la protection de la gendarmerie au courant du mois d’août 2019  (du 18 au 20, selon certaines sources ) a provoqué une colère dans tout le pays. Le pouvoir obnubilé par sa survie et la sauvegarde ses intérêts a pris le risque de fractionner le pays et de provoquer une guerre civile. Cette énième manœuvre de l’ancien chef de l’état-major de l’armée n’a pas fait long feu même si, notent certains, une fraction du Hirak, les badissistes  (‏un courant conservateur ) a mis fin à sa participation aux manifestations. Complètement coupé du peuple, le régime a décidé de composer avec cette fraction du mouvement populaire. La feuille de route du régime : le tournant Malgré les coups de boutoir des militaires qui occupent dorénavant le devant de la scène politique, dont le chef prêche régulièrement à partir des casernes, la mobilisation continue et demeure massive, même si les observateurs ont noté un certain reflux. Dès lors, ‏le régime change de stratégie en optant pour une feuille de route qui comprend notamment un processus électoral. Gaid Salah fixe lui-même la date des élections présidentielles et convoque le corps électoral pour le 12 décembre 2019, à partir d’une caserne. Il concentre tous les pouvoirs entre ses mains et, en guise de gage envers une partie du Hirak, procède à l’arrestation d’anciens premiers ministres  (Ouyahia, Sellal ), de hauts gradés de l’armée, dont les généraux Mohamed Mediène dit Toufik et Bachir Tartag, d’oligarques et de nombreux proches de Bouteflika. En parallèle, Gaïd Salah entame une répression contre le mouvement populaire. On assiste à la multiplication des arrestations et des intimidations. Une propagande inouïe contre le Hirak et ses animateurs est orchestrée. L’encerclement des principales villes du pays, plus particulièrement Alger est décidé. Pour mener à bien cette mission, tous les médias,  publics et privés, sont mis au pas et des campagnes de dénigrement et de désinformation ciblant le mouvement sont enclenchées afin de déstabiliser la rue et d’affaiblir la contestation. Le mouvement populaire perd ainsi l’initiative et se contente de réagir aux provocations quasi-quotidiennes du nouvel homme fort du régime. On peut affirmer que la première erreur du Hirak réside dans sa non-réaction aux intimidations du pouvoir et aux arrestations de ses animateurs. En réalité, il aurait fallu des actions fermes et des manifestations spécifiques pour exiger la libération des détenus. Le Hirak n’a pas compris que le pouvoir menait une guerre contre lui et que ces arrestations n’étaient que le début du démantèlement du mouvement populaire. En fait, avec ce processus insidieux et réfléchi, on assiste à ce qu’on appelle la métaphore de la grenouille  (c’est l’histoire de la grenouille qui nage dans l’eau froide et qui s’accoutume à l’augmentation progressive de la température de l’eau, sans se rendre compte qu’elle était en train de brûler et de mourir ). En définitive, on peut déduire que le mouvement populaire n’avait aucune stratégie, ni vision, ni feuille de route pour faire face au régime et réaliser la rupture tant espérée. Ces éléments qui ont fait défaut au Hirak et l’absence de toute forme d’auto-organisation ont condamné le mouvement à l’épuisement. Nous reviendrons plus loin en détail sur chacun de ces aspects pour expliquer les raisons de ces manquements. Élection présidentielle, disparition de Gaid Salah et recomposition du régime Malgré les protestations de l’opposition et les manifestations de refus, Gaid Salah a imposé les présidentielles qui ont eu lieu le 12 décembre 2019. Le rejet a été massif. Les pratiques anciennes ont joué à fond tant le bourrage des urnes et la fraude multiforme ont atteint des proportions inouïes afin de satisfaire les désirs du tyran qui voulait une participation massive. On a déclaré la participation à 39% et Tebboune, le Joker de Gaïd Salah, vainqueur avec 64 % des suffrages. Les autres candidats, tous issus du sérail, ont partagé le reste des voix. Pour le chef de l’état-major de l’armée, ces élections n’étaient qu’une formalité qui lui permettait de renforcer son assise. Il a choisi Tebboune; un homme sans charisme, ni envergure, plutôt effacé pour en faire un président marionnette et parer ainsi à toute mauvaise surprise. Il faut rappeler que des moyens colossaux ont été mobilisés pour assurer le bon déroulement du scrutin. Des actes de brutalité policière ont été observés dans plusieurs régions du pays, notamment en Kabylie, où de nombreux manifestants ont été éborgnés. Depuis, de nouveaux éléments de langage ont fait leur apparition sur le devant de la scène politique. On pouvait entendre les « expressions Algérie nouvelle » et « Hirak moubarek  (béni ) » qu’il faut distinguer du Hirak qui continue à occuper la rue et qui, selon les décideurs du moment n’avait plus de légitimité. La propagande contre le Hirak et ses animateurs redouble d’ardeur. Les manifestations continuent sous la même forme, mais aucune organisation, ni projet  alternatif n’émerge pour faire face à la nouvelle situation politique. Gaid Salah n’a pas eu le temps de savourer la victoire de son dauphin et de poursuivre ses intrigues, car il décéda quelques jours après les élections. Tebboune n’avait pas les épaules ni les compétences pour faire face à la nouvelle situation. Une recomposition avec les généraux arrêtés ou marginalisés par Gaid Salah se met en place et devient plus tard une réalité avec la libération du général Toufik et le retour d’exil du général Khaled Nezzar à bord de l’avion présidentiel alors que quelques mois auparavant, il a été condamné par contumace à 20 ans de prison. La nouvelle équipe continue son hostilité à l’égard du mouvement. Elle prend une forme plus violente et aboutira à une escalade dans la répression qui mettra un terme aux manifestations de rue. Une nouvelle législation criminalisant tout action politique indépendante vit le jour. Cela conduira à l’arrestation de centaines de manifestants, notamment pour appartenance à des organisations terroristes. Dans la prochaine contribution, on tentera de situer les responsabilités des forces politiques dans l'impasse actuelle dans laquelle se trouve le Hirak.

L E M O N T A G N A R D

GR ANDES FELICITATI S POUR NOTRE CHER AMIR DZ VOUS ETES HOMME INTEGRE NATI ALISTE ET D UNE H NETETE EXEMPLAIRE ENC ORE UNE FOIS FELICITATI S A BAS LES INGRATS HARKIS VERT KAKI